Thérèse Gambin
Pour un instant de rupture, j’ai respiré pour trouver la chaleur, la douceur de l’ASIE. De ces deux voyages, des sites remarquables, des trésors culinaires que je n’effacerais pour rien au monde de ma mémoire.
J’ai souvenance de ces repas vietnamiens chez l’habitant, de la convivialité de ces gens pour nous offrir leur savoir-faire. De ces villages ou le plaisir de partager entre amis, une bière locale ou prendre un petit repas dans ces rues si animées, vivre ces quelques instants de bonheur dans le respect et la gentillesse de ce pays vert de rizières.
Il faut aimer voyager et vivre quelques semaines parmi la pauvreté, de ces marchés où rien n’est comme chez nous, pas de grand luxe.
Si vous aimez le charme de ces voyages-là, faites-le. De mon côté, je n’espère qu’une chose pouvoir me retrouver dans ces petites échoppes à savourer du riz blanc tout simple.
C’est ainsi que j’aimerais tenir la promesse de revenir vers ces grandeurs lointaines qu’est l’ASIE.
L’ASIE aux milles couleurs