« Alors, en entrée nous avons du sashimi de flet servi avec des oignons verts et du momiji oroshi, ou radis blanc, pimenté.
Le poisson au coût particulièrement subtil avait une texture ferme, agréable en bouche. Cette entrée fut suivie d’un tsunami de nigiris fantastiques, des boulettes de riz à sushi chapeautées de divers ingrédients, servies par deux afin que je puisse apprécier pleinement chaque fabuleuse bouchée.
Après la daurade vinrent des crevettes sucrées, des tamagoyakis, de la sériole du Japon, du saumon, du poulpe braisé à la sauce soja, du crabe, de l’anguille grillée, et les deux dernières pièces furent de l’otoro, ou ventre de thon. Le thon, le plus savoureux, le plus gras, le plus fondant que j’aie jamais mangé. »
L’art meurtrier du lait de coco de Mia P Manansala